Après la chute du régime tunisien de Ben Ali, les autorités égyptiennes, par crainte d’une avancée de la vague sociale de mécontentement jusqu’aux portes du Caire, décidèrent de ralentir les travaux parlementaires et de reporter l’adoption de toute mesure qui pouvait nourrir l’impopularité du gouvernement. À la fin de ce 2018, quelque chose de similaire…
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